REMARQUE
. Tous les articles de ce blog ont été rédigés par moi-même sans emprunt littéral à d'autres auteurs, ils sont le fruit d'une documentation personnelle amassée au cours des ans et présentent ma propre vision des choses. Après tout, mon avis en vaut bien d'autres.
. Toutes les citations de mes articles proviennent de recherches sur les sites gratuits sur Internet



Mon blog étant difficilement trouvable par simple recherche sur internet, voici son adresse : jeanpierrefabricius.blogspot.com

dimanche 3 juillet 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (12) YASHODHARAPURA 1

Le PHNOM BAKENG

Suite de l'article précédent

Il est fondé sur une colline naturelle qui fut entourée d'un fossé et d’un mur d’enceinte rectangulaire

Des traces de ce fossé apparaissent encore sur le plan ci-contre. Une partie du fossé nord du Phnom Bakeng a été reprise dans les fossé d'Angkor Thom.

Il devait exister quatre  portes qui permettaient d’entrer dans le temenos.  Elles  s'ouvraient sur des escaliers menant  en haut de la colline. De ces portes partaient quatre voies en direction des points cardinaux qui constituaient l'ossature de la cité.

La vue aérienne témoigne parfaitement de la structure de la partie centrale du site.

     . Le temple proprement dit forme une pyramide à cinq étages et une plateforme supérieure comme le Bakong,

     . la plateforme comporte cinq tours-sanctuaires (1) qui figurent les cinq pics du mont Mérou, toutes étaient dédiées à Civa auquel est assimilé le roi et comportaient une représentation du linga. Ces tours furent en grande partie détruites ultérieurement par les moines bouddhistes pour récupérer les pierres afin de construire une statue de Bouddha qui ne fut jamais érigée. La structure en quinconce des cinq tours se retrouvera au Mebon, au Pre-rup et aussi à Angkor-Vat.

     . Comme au Bakong, quatre escaliers (2) permettent de passer d'un niveau à un autre afin d'accéder à la plateforme centrale. Sur chacun des podiums bordant l'escalier sont érigés des sculptures de lions

     . De part et d'autre de ces escaliers ainsi que sur les angles des cinq niveaux se trouvent soixante-six petites tours-sanctuaires (3) construites en pierre et pourvues de portes toutes orientées vers l'Est. elles n'existaient au niveau du Bakong que sur le dernier niveau encadrant la plateforme centrale.

   . Enfin, au pied du temple-montagne se trouvaient 44 tours (4) construites en briques

Ces deux photos montrent que l'aspect des templions est du même style que celles du Preak-Ho et du Bakong
     . forme de base carrée précédée sur les quatre côtés de porches en avancée qui évoquent les MANDALA des Indes,  trois de ces porches sont aveugles, un seul situé  vers l'est constitue la porte.
     . Étages reproduisant l'aspect du premier niveau en plus étroit et plus bas de manière à constituer une pyramide.
     .  Forte moulure séparant les étages.

Ces tours sont construits en pierre ne comportent pas (ou plus) de décors sculptés en sorte que l'on aperçoit nettement la technique qui présida à leur construction.

La seule tour subsistante de la plateforme est également semblable à celle du Preak-Ho avec :
   . Des colonnes cannelées encadrant la porte et soutenant un linteau sculpté.
   . De part et d'autre du porche en avancée, deux piliers qui soutiennent un tympan sculpté.

Ainsi, le style d'Hariharalaya se perpétue dans les édifices de YASHODVARMAN 1er à  Yasodharapura 1 avec néanmoins deux nouveautés : les plateformes à cinq prasat et une plus grande importance de la pierre au détriment de la brique

Prochain article : l'évoque de Rajendravarman II

samedi 2 juillet 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (11) YASHODHARAPURA 1

La chronologie présentée dans l’article précédent aura sa conséquence sur l'histoire de l'édification de Yashodharapura qui se divise en deux phases :
. Yashodvarman fonde la ville, fait creuser le BARAY et construit son temple-montagne, le PHNOM BAKENG
. Rajendravarman II donne une nouvelle orientation à la ville et fonde, entre autre, le  MEBON ORIENTAL, le PRE-RUP  et commence l'édification du Palais Royal.

Ainsi, un intervalle d'une trentaine d'année sépare la construction du Phnom Bakeng et celles du Pre-Rup et du Mebon  oriental, Il peut être intéressant de comparer ces temples afin de mesurer une éventuelle évolution de leur style.

L’EPOQUE DE YASHODVARMAN 1er


La première phase de constructions se déroule sous le règne de Yasodvarman 1er avec création de la ville conformément aux règles de la géomancie indienne :

le mont Mérou est représenté par le PHNOM BAKENG, A la différence du Bakong qui est construit en plaine et dont l'assise est sans doute composé des déblais occasionné par le creusement du Baray, le Phnom Bakeng est érigé sur une butte volcanique naturelle, ce qui augmente l'impression de hauteur. Le phnom-Bakeng est entouré par des douves qui participent à l'expansion de la zone irriguée. Tout autour se développait la ville

le monde de l'eau correspond à un vaste bassin rectangulaire de 7,1 km sur 1,7 km le Baray oriental appelé à l'époque de ce roi Yasodharatataka. Il est alimenté par la rivière Strung Siem Reap qui fut détournée de son cours primitif pour être déportée vers l'Ouest, ce qui permit d'emplir le bassin. Ensuite, la rivière se dirigeait vers le sud avec un lit rectiligne qui constituait sans doute un canal.

la ville déployée autour du Phnom-Bakeng pose le problème de sa topographie : elle formait, selon les uns, un carré de 4 km de côté, ses limites étant formée par un fossé.

Diverses hypothèses ont été émises à ce propos, elles témoignent de la difficulté à comprendre le site, en effet les structures de Yashodharapura 1 ont été largement modifiées lors de la création d'Angkor-vat puis d'Angkor-Tom. J'ai repris sur le plan une de ces hypothèses (trait en  pointillé noir), elle permettrait d'intégrer à la ville un canal en forme de L du plan (1) ainsi que le fossé du futur Angkor Vat (2) et celui du futur Angkor Thom (3).

La construction d'un PALAIS ROYAL est également commencée. Le site de ce palais sera immuable jusqu'à la fin d'Angkor. Il est situé au croisement de deux voies, une Nord-Sud qui le relie au temple-montagne, une autre qui mène au Baray Yashodharatataka ; si les limites de la ville sont celles que j'ai mentionnées en pointillé noir, serait alors renforcée la situation mythique du palais qui personnifie à lui tout seul la cosmologie indienne entre montagne et eau. A cette époque, on croyait que la personne du roi s’assimilait aux dieux en particulier à Civa sous la forme de son linga, le roi, par cette assimilation, trouvait pleinement sa place dans le monde cosmique.

Est aussi mentionnée sur le plan l'aire d'extension de l'irrigation alimentée à la fois par l'eau du bassin et par les eaux du Strung Siem Reap, les aménagements de Yashodharapura font plus que doubler la superficie irriguée par rapport à celle de Hariharalaya.

À suivre : prochain article de PHNOM BAKENG

jeudi 30 juin 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (10) YASHODHARAPURA 1

C'est pendant le règne de YASOVARMAN 1er (879-910), fils d'Indravarman 1er que se produisit la création d'une nouvelle capitale qui prit le nom de YASODHARAPURA. Elle est établie sur un site situé au Nord-Est de HARIHARALAYA au niveau de la partie centrale de l'actuel Stung-Siem-Reap.

L'élaboration de YASODHARAPURA sera effectuée en deux périodes principales
   . de 889 à 921 sous le règne de Yasodvarman 1er puis de son fils,
   . de 944 à 1000/1001 pendant les règnes de Rajendravarman ll puis de son fils Jayavarman V

Entre 921 et 944, se produit une scission dans le royaume khmer avec deux rois, l'un établi à Koh-Ker, l'autre restant à Angkor.

Le tableau généalogique  ci-dessous  permet de mieux comprendre la succession, les problèmes dynastiques des souverains Khmers de l’époque de Yashodharapura et les deux phases de construction de la nouvelle capitale :


   . A la mort de Yashovarman 1er en 910, son fils Harshavarman lui succède ; cependant en 921, l'oncle du roi, Jayavarman IV, entre en dissidence, il quitte Angkor et fonde une nouvelle capitale sur le site appelé actuellement Koh-Ker. Le Cambodge se scinde en deux royaumes dont les capitales sont à Angkor (Yashodharapura) et Koh-Ker.
   . A Harshavarman succède en 922 son frère Içanavarman tandis que Jayavarman IV reste roi à Koh-Ker.
   . En 928, le roi Içanavarman meurt, son oncle Jayavarman IV réunifie le Cambodge mais maintient sa capitale a Koh- Ker, il meurt en 942, son fils Harshavarman II lui succède.
   . En 944, à la mort de Harshavarman ll, son cousin Rajendravarman II lui succède, il quitte Koh-Ker et revient à Angkor.

À suivre...

mercredi 29 juin 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (9) HARIHARALAYA

LA PLACE DU HARIHARALAYA DANS L'ÉVOLUTION ARCHITECTURALE D'ANGKOR

Le style des tours des temples de HARIHARALAYA  n'est pas né ex-nihilo en à Angkor. Trois éléments ont présidé à son éclosion :
     . ce style dérive d'anciennes structures en bois dont on a conservé l'assemblage lorsqu'on est passé des constructions en bois à celles en pierres.
     . Il correspond aussi à  une adaptation de la civilisation indienne : l'Inde a en effet importé en pays khmer à la fois ses dieux et son architecture. Ainsi, le temple du rivage de Mahabalipuram datant du 7eme siècle présente une certaine similitude avec les tours sanctuaires du PREAH-KO avec sa base carrée et son toit à étages dénivelés figurant une pyramide.
     . ensuite s'est produite une amélioration des temples pré-angkorien comme ceux de Sambor Prei Kuk, capitale d'un royaume pre-khmer. On y retrouve les influences indiennes, base carrée et toits dénivelés évoquant une pyramide.

L’architecture des  tours-sanctuaires du PREAK-HO n’a donc pas été inventée ex-nihilo à Hariharalaya, elle témoigne cependant d'une importante évolution artistique par rapport à ces modèles ; ceux-ci  furent synthétisés dans une création nouvelle et harmonieuse  dont les caractéristiques seront utilisées pendant toute la période angkorienne jusqu'à l'époque de JAYAVARMAN VII.

Ainsi la ville de HARIHARALAYA a fixé un style :
. Une succession d'enceintes carrées avec une ou plusieurs portes dirigées vers les points cardinaux.
. Des tours-sanctuaires à la cella carrée surmontée d'une cheminée centrale.
. Des cheminées  formées de rangées de briques posées en spirales qui se rétrécissent au fur et à mesure qu’on s'élève.
. Un aspect extérieur des tours comportant une forme carrée de base surmontée de toits dénivelés figurant la pyramide,
. Des frontons en fer à cheval prenant la forme du serpent Naga décorés de scènes finement sculptées surmontant des linteaux également sculptés.
. La présence de terrasses sur lesquels sont érigées les tours-sanctuaires qui créent la forme des temples-montagne quand elle sont construites en gradins.
. Les rampes d'escaliers surmontées de lions...

Le style des temples angkoriens gardera cette structure de base mais en évoluant. Parmi ces évolutions, on peut citer :
   . l'abandon de la brique au profit de la latérite avec des temples construits uniquement en pierre,
   . l'utilisation de l'encorbellement pour créer des fausses voûtes au dessus des galeries,
   . la modification des enceintes : les simples murs se muèrent en galeries-portiques dont le mur arrière est orné de magnifiques fresques.
   . la transformation des portes jusqu'alors basses en gopura de forme cruciforme à  toits dénivelés
   . la création aux angles de l'enceinte de tours carrées surmontées de toits dénivelés figurant une pyramide.

Ces évolutions apparurent peu à peu au fur et à mesure que se constituait la nouvelle capitale de YASHODARAPURA.

samedi 25 juin 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (8) HARIHARALAYA

Le BAKONG

Comme le temple de Preak-Ho, le BAKONG fut construit par Indravarman ll en 881 et est dédié à Shiva, c'est le premier temple-montagne d'Angkor.

La vue aérienne montre que ce temple correspond exactement à la géomancie indienne avec présence de la montagne sous forme du temple, de la terre et de l'eau sous l'aspect de douves dont l'eau permettait l'irrigation.

Le temple proprement dit est organisé selon le modele du Preak-Ho. Il comporte une enceinte carrée matérialisée par un simple mur, percée par quatre portes quadriformes (1) situées vers les quatre points cardinaux, la plus importante étant celle de l'Est.

Passé cette enceinte, on se trouve dans la cour précédant le temple-montagne. Dans cette cour sont construites huit tours sanctuaires (2) du type de celle du Preak-Ho, elles sont établies symétriquement aux portes cruciformes. Quatre de ces tours ont été reconstituées par les archéologues.

Sur la cour située à l'Est, une allée mène à un pavillon d'accès à l'escalier du temple (4). Elle est bordée de deux bâtiments longs et étroits avec couverture de bois que l'on qualifie généralement de bibliothèques (3)

Le temple comporte cinq terrasses dénivelées et reliées par des escaliers dont les rampes portent des lions (5), le coin de chaque terrasse porte un éléphant sculpté (6)

La quatrième terrasse (7) comporte dix petites tours construites en pierre avec le même style que les tours-sanctuaires de la cour. Au centre de cette terrasse s'élève le sanctuaire principal (8), celui-ci n'est pas le prasat d'origine, il fut sans doute reconstruit à l'époque d'Angkor-Vat dont ils possède le style.

vendredi 24 juin 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (7) HARIHARALAYA

LE PREAH-KO. (Suite)

Les éléments décoratifs principaux subsistant sur les parois externes des prasat  sont les linteaux de pierre  surmontant les portes.

Sculptés finement dans le grès, ils sont constitués de la même manière comme en témoignent les deux exemples ci-dessous :

LE LINTEAU DE GAUCHE
     . Au centre de ce linteau  se trouve une représentation de Garuda, l'oiseau qui sert de monture à Vichnou.
     . De part et d'autre, se déploient deux figures ondulées, elles possèdent un aspect de Naga avec une gueule de serpent à cinq têtes dont le corps devient une tige florale.
     . De cette tige centrale, partent des volutes de fleurs qui emplissent tout le linteau.

LE LINTEAU DE DROITE
 il est beaucoup plus complexe que le précédent même si la structure d'ensemble est la même :
     . Au centre est représenté le démon Kala qui déroba la liqueur d'immortalité après le barattement de la mer de lait ; Vichnou, au moyen du disque qui est son attribut, coupa Kala en deux parties qui devinrent immortelles.
     . Au dessus de la guirlande florale sont représentés des rinceaux floraux avec des cavaliers sur leurs montures.
     . Au-dessous,  se trouvent des personnages qui chevauchent des serpents à trois têtes, ils tiennent un bâton et portent une coiffure caractéristique des représentations des Dieux.

À suivre...

mercredi 22 juin 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (6) HARIHARALAYA

LE PREAH-KO. (Suite)

L'INTÉRIEUR DE LA CELLA
La cella est une pièce exiguë pourvue en son centre du Yoni servant de base du lingam ( phallus dressé qui symbolise Shiva) ; cette pièce n'était réservée qu'au roi et aux  prêtres qui y officiaient, elle était interdite au peuple qui se tenait dans la cour. Lors de ce culte étaient effectuées des libations comme le montre la présence d'une petite gouttière  sur le côté de la base de pierres.

Au niveau du plafond, la cella était fermée par des planches de bois ou des dalles de schistes que supportait une moulure en avancée sur le mur. Au dessus, l'intérieur de la tour formait une haute cheminée  qui allait en se rétrécissant vers le haut grâce à des rangées de briques dénivelées les unes par rapport aux autres et en encorbellement. C'est autour de cette cheminée centrale qu'était construit le parement de la tour que l'on voit à l'extérieur.

À suivre...

mardi 21 juin 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (6) HARIHARALAYA

LE PREAH-KO. (Suite)

ÉLÉVATION DES TOURS-SANCTUAIRES
Leur construction fut réalisée au moyen de deux matériaux, la brique rouge et un grès qui a la particularité d'être friable et facile à travailler puis qui durcit ensuite.

Sur le dessin ci-dessous, j'ai essayé de reconstituer l'aspect que devait posséder une tour-sanctuaire (PRASAT)  afin de déterminer sa structure ; à ce dessin, j'ai accolé une photo de cette tour aux fins de comparaisons. Les dégradations y sont telles que la reconstitution est assez difficile ; mon dessin peut donc paraître contestable, il fut effectué à main levée sur le site même.

La photo montre, au premier plan, le mur mouluré de la terrasse et l'escalier d'accès au prasat ; ce mur est interrompu par les escaliers bordés de deux lions.

Sur la terrasse, est construite la plateforme qui porte le temple, elle est également moulurée et est interrompue sur ses quatre faces par les escaliers menant aux portes. Sur les murs de la forme carrée de base se trouvent des niches dans lesquelles sont sculptés des gardiens de la tour sanctuaire : (DVARAPALA, gardiens masculins pour les prasat dédiés aux rois, assimilés à Shiva, DEVADA, gardiens féminins pour les reines), ils sont représentés sur les quatre côtés, y compris de part et d'autre des portes aveugles ; au dessus des gardiens, subsistent quelques bas-reliefs de grès finement sculptés.

De part et d'autre de la porte d'entrée, se trouvent de belles colonnes cannelées sculptées en grès, elles supportent un linteau de grès finement sculpté et deux étages de moulures. Au dessus de la porte, s'élève un fronton également orné de sculptures de grès, encadré par une forme ondulée en fer à cheval qui évoque le serpent Naga que l'on retrouve partout sur les sites angkoriens. Ce fronton comportait aussi des reliefs sculptés sur le grès.

Les étages supérieurs reproduisent exactement la structure du premier niveau et sont organisés selon le même plan, : base carrée, avancée intermédiaire, porte centrale encadrée par deux piliers supportant un tympan. Une seule différence entre le niveau de base et les niveaux le surmontant concerne leur porte qui est fausse et ne sert qu'à l'équilibre esthétique de la composition. 

Ainsi, dans cette tour sanctuaire, deux caractéristiques se conjuguent pour créer l'impression d'une pyramide : le plan de style cruciforme et les étages de plus en plus étroits qui resserrent les saillants jusqu'à constituer une forme quasiment circulaire.

La façade arrière des tours-sanctuaires présente le même aspect et la même structure que la façade avant avec toutefois une différence importante .  la porte est une fausse porte utilisée simplement comme parement puisque la cella ne comporte qu'une seule porte à l'Est.

Sur la façade arrière de la tour ci-contre, dédiée à une reine, se trouvent représentés deux devada, (gardiennes)  de part et d'autre de la porte.

A suivre...