REMARQUE
. Tous les articles de ce blog ont été rédigés par moi-même sans emprunt littéral à d'autres auteurs, ils sont le fruit d'une documentation personnelle amassée au cours des ans et présentent ma propre vision des choses. Après tout, mon avis en vaut bien d'autres.
. Toutes les citations de mes articles proviennent de recherches sur les sites gratuits sur Internet



Mon blog étant difficilement trouvable par simple recherche sur internet, voici son adresse : jeanpierrefabricius.blogspot.com

dimanche 2 octobre 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (46) YASHODARAPURA 4, le règne de JAYAVARMAN VII

Suite de l'article précédent 

PHASE 2

C’est dans ce contexte d’occupation du royaume par les Chams que JAYAVARMAN sortit de sa retraite, il se servit de la haine des Khmers envers les occupants pour se constituer une petite armée qui pratiqua d’abord la tactique des guérillas, organisant des embuscades et des raids rapides pour désorganiser l’adversaire. Parallèlement, il fit construite une flotte pour transporter son armée sur le Tonle Sap et combattre la flotte Cham qui s’y trouvait. La bataille eut lieu sur le lac, les Chams furent vaincus et Angkor fut libéré.

La bataille navale est représentée sur un des bas-reliefs du Bayon, le temple central d’Angkor Thom, la nouvelle ville crée par Jayavarman ( Yashodharapura 4).


A droite se trouve le bateau Cham facilement reconnaissable aux casques que portent les combattants, le bateau de gauche  est khmer.  Dans chacun des deux bateaux se trouvent deux rangées de combattants : des rameurs au niveau de la coque, des guerriers au dessus.

La scène figure l’abordage du bateau Cham par les Khmers. Les soldats Khmers  sont debout représentés en plein combat. Des Chams ont déjà été tués, ils tombent dans l’eau du lac et sont dévorés par des crocodiles.

PHASE 3

En 1181, à la suite de cette victoire, JAYAVARMAN se fait reconnaître en tant que roi et même comme monarque universel. Certains bas-reliefs permettent de penser que la cérémonie se déroula  sur le Phnom Kulen comme l’avait été celle qui intronisa JAYAVARMAN 2, le fondateur d’Angkor. Grâce à ce sacre, le nouveau roi peut  affirmer son autorité tant sur les autres prétendants au trône  que sur le pays entier afin de constituer une puissante armée et de réduire à l’obéissance les gouvernants  des provinces.

À partir de sa consécration, JAYAVARMAN 7 va se consacrer à  deux tâches prioritaires :
   . Écarter la menace de nouvelles invasions des Chams.
   . Reconstruire un pays dévasté par leurs pillages.

En 1190, se produit en effet une nouvelle invasion du royaume par les Chams, JAYAVARMAN 7 leur livre bataille aux portes d’Angkor et emporte une nouvelle victoire. Sur le lieu de cette victoire, il construira le  temple du Preak-Khan. Comprenant que le seul moyen de faire cesser le péril Cham, le roi décide d’effectuer la conquête du Champa qu’il annexera  au royaume en 1203 (2)

C’est après 1203 que le royaume khmer  atteint sa plus grande extension comme le montre la carte ci-contre.

Parallèlement à cette pacification du pays, JAYAVARMAN 7 entreprit la reconstruction d’Angkor et de sa capitale ; pour l’illustrer. J’ai choisi d’évoquer trois ensembles qui se suivent chronologiquement et qui permettre de définir à la fois les mentalités religieuses et politique du roi ainsi que leurs conséquences sur l’évolution de l’architecture.
   . Le Ta Phrom datant de 1186
   . Le Peah Khan construit sur le lieu de la victoire sur les Chams de 1190
   . La nouvelle ville d’Angkor Thom et le temple du Bayon

-2 entre 1190 et 1203, l’histoire du Champa comporte deux phases :
     . Après la victoire de 1190, le pays Cham est partagé en deux, une partie est annexée directement par le roi, l’autre partie est confiée à un prince Cham inféodé au roi.
     . Le prince Cham, ayant tenté de se révolter, est déposé ;  le Champa est annexé mis au rang d’une province du royaume

samedi 1 octobre 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (46) YASHODARAPURA 4, le règne de JAYAVARMAN VII

Entre la mort de SURYAVARMAN 2, le fondateur d’Angkor Vat survenue en 1150 et la proclamation de JAYAVARMAN 7 en tant que monarque universel, en 1181, le royaume khmer traverse une période de troubles et d’instabilité pendant laquelle on ne dispose que de peu d’indications. Celles-ci permettent cependant de retracer l’ascension du  futur fondateur d’Angkor Thom. Elle se déroule en trois phases principales.

PHASE 1

A SURYAVARMAN 2 succède un de ses parents DHARANINDRA VARMAN 2, le père du futur JAYAVARMAN 7, une inscription du temple du TA PROHM semble indiquer qu’il se serait converti au bouddhisme. En 1160, DHARANINDRA VARMAN 2 meurt, il est remplacé non par son fils mais par un autre membre de sa parenté, YASHOVARMAN 2. A cette époque, JAYAVARMAN se trouvait au Champa (sud du Vietnam actuel) pour combattre les Chams qui organisaient de fréquentes incursions en pays khmer. Assez curieusement, le prince ne revendiquait  pas le trône auquel il aurait eu droit, au contraire, il servit loyalement le nouveau roi (1)

En 1165, un haut dignitaire de la cour s’empare du pouvoir, fait assassiner  Yashovarman 2 et se proclame roi sous le nom de TRIBHUVANADITYA VARMAN. A la nouvelle de l’usurpation, JAYAVARMAN quitte précipitamment le Champa pour revenir à Angkor mais il arrive trop tard, le pouvoir du nouveau roi est solidement établi. Débute alors pour le prince un exil au Preah-Khan de Kampong-Svay qui durera douze ans sans qu’il n’entreprenne une quelconque action, il est probable que cette passivité était due au manque de troupes prêtes à le suivre et donc au rapport de forces qui lui était défavorable.

Pendant cette période, le roi du Champa profite de l’état de désorganisation du royaume Khmer pour lancer des raids contre lui ; il conduit deux expéditions terrestres  en 1167 et 1170 qui échouent. Tirant les leçons de ces échecs, le roi Cham décide de changer de tactique, il se dote d’une flotte pour transporter son armée par les voies maritimes puis fluviales et arriver au Tonle Sap et au pied d’Angkor. Il peut s’emparer en 1177 de la capitale khmer sans rencontrer de résistance.  A cette époque en effet, à l’exception d’Angkor Vat, la ville n’était pas protégée militairement, les rois ayant voulu que leur cité soit uniquement placé sous les auspices du monde divin, ce qui ne nécessitait pas à priori de protection particulière contre  les hommes : La sauvegarde de Yasodharapura était religieuse et non militaire, cela explique que pour écarter la cité de toute protection divine, les Chams transportèrent les statues des dieux  d'Angkor au Champa ou les mutilèrent. Lors de l’assaut de la ville, l’usurpateur TRIBHUVANADITYA VARMAN est tué. Les Chams règnent sans partage sur le pays.

À suivre...

1 certains auteurs font de YASHODVARMAN 2 le frere de JAYAVARMAN, ce qui semble contredit par les informations de la stèle de fondation du Ta Prohm.


jeudi 29 septembre 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (45) YASHODARAPURA 3 et ANGKOR VAT

Suite de l’article précédent

Les  deux photos ci-dessous présentent quelques unes des tortures infligées dans les 32 enfers


Ces tortures sont  variées et diffèrent selon les 32 enfers, les supplices de chaque enfer sont en effet en corrélation avec les fautes commises pendant la vie terrestre : ainsi les menteurs sont torturés au moyen de longues pinces pour leur arracher la langue, les gourmands sont sciés en deux, les voleurs de liqueur et de femmes  sont mis en pièces par des oiseaux de proie et jetés dans un lac de pus, d’autres cuisent à petit feu, rôtissent à la broche, sont mis dans un lac brûlant ou dans un enfer gelé...

A l’inverse des autres religions enseignant la présence d’un enfer définitif, l’hindouisme prône que le passage dans un ou plusieurs des 32 enfers n’est que provisoire, une fois les fautes commises expiées, le mort peut se réincarner.

Les deux photos ci-dessous proviennent du registre supérieur et montre ce qu’il advient pour ceux que YAMA a désigné pour les 37 ciels. Ils sont assis dans un palais aérien supporté par des atlantes en forme de Garuda, leur vie est égayée par les danses des Apsaras.  Pour eux, le séjour dans ces  palais sera éternel : avant atteint le stade de Nirvâna, ils n’auront plus besoin de se réincarner. La photo de droite pourrait représenter le roi Suryavarman 2 dans son palais du ciel.


Ce bas-relief clôt le trajet de circumnambulation, il donne à chaque visiteur un aperçu complet des grandes croyances et de grandes victoires khmères, le tout étant placé sous les augures de la glorification royale et du triomphe des dieux auxquels est assimilé le roi sur les démons.

Prochain article : YASODHARAPURA IV

mercredi 28 septembre 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (44) YASHODARAPURA 3 et ANGKOR VAT

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Passée la scène du combat contre le Chams et en suivant la galerie, on accède au surprenant « relief des 37 cieux et des 32 enfers »

Pour illustrer cette dernière série de bas-reliefs, j’ai choisi de montrer quelques scènes caractéristiques et évocatrices des conceptions de l’hindouisme cambodgien concernant le ciel et l’enfer.  L’ensemble du panneau sculpté  est divisé en trois registres représentant les trois niveaux de l’univers : au centre se trouve le monde terrestre, au-dessus, le ciel, en dessous les enfers.

A la mort, les êtres humains sont conduits en une longue file vers YAMA, le dieu des enfers.


Les uns sont à pieds mais les puissants sont portés en palanquins, c’est le cas en particulier pour le personnage de droite qui figure le roi Suryavarman 2 et sa famille.

Les morts arrivent devant le dieu des morts, celui-ci est assis sur sa monture habituelle, le buffle, il possède 18 bras et porte deux bâtons qui lui permettent de désigner ceux qui seront voués à l’enfer et ceux qui monteront au ciel, c’est ce que montre la photo de gauche :


La photo de droite montre ce qu’il advient à ceux que YAMA a voué aux enfers : ils sont passés par une trappe et jetés dans le monde inférieur des 32 enfers.

À suivre....

mardi 27 septembre 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (43) YASHODARAPURA 3 et ANGKOR VAT

Suite de l’article précédent

Le relief qui représente la bataille de Suryavarman II contre les Chams se décompose en trois parties :
   . Le roi en son conseil,
   . L'armée en marche,
   . La bataille.
 Les reliefs les plus intéressants sont ceux qui décrivent la marche de l’armée khmer vers l’ennemi puis le déclenchement de la bataille.

Les deux photos ci-dessous représentent l’armée en marche :


Selon ces photos, l'armée khmer comporte cinq  types  de combattants :
   . Des fantassins portant des lances ainsi que, pour quelques uns, des boucliers. Ils sont habillés d’un pagne simplement noué autour de la taille et tombant sur le devant et le derrière.
   . D’autres sont habillés de pagnes plus longs descendant jusqu'aux genoux et portent une lance ; on peut penser qu’il s’agit de la garde royale.
   . Des cavaliers qui doivent commander les troupes à pieds galopent devant leur « régiment »
   . Des éléphants de guerre surmontés de palanquins transportent les archers. Sur un de ces éléphants est représenté le roi tenant un arc.
   . Des chars tirés par des chevaux portant des combattants armés d’arc et de flèches, de javelots et d’épée.

A ces soldats s’ajoutent les sonneurs de trompettes, les porteurs d’oriflammes...

Au contact de l’ennemi, l’armée se met en ordre de bataille comme le montrent les deux premières photos ci-dessous :

    . Sur la photo de gauche,  les cavaliers lèvent leur sabre, sans doute pour commander l’assaut de l'infanterie.
    . Sur la photo du centre, alors que les fantassins s’avancent armés de javelots, les chars s’élancent, les uns lancent des flèches tandis que d’autres lèvent leur sabre, ces derniers portent un bouclier attaché à leur bras gauche.


   . La photo de droite représente une scène de la bataille contre les Chams. Les fantassins sont aux prises avec leur adversaire, ils se servent de leur javelots pour tuer les ennemis ; au-dessus d’eux, les éléphants chargent tandis que les soldats des palanquins lancent des bordées de flèches.

La guerre du roi Suryavarman 2 contre les Chams est traitée de manière réaliste, ce qui permet de bien suivre les phases du combat, on ne trouve pas ce tournoiement des protagonistes qui caractérisait la description des grands épopées indiennes. Pourtant ces guerres ressortent toutes de la même conception : le combat du roi contre les Chams revêt  un caractère mythique qui l’assimile aux combats épiques des démons et des dieux.

À suivre...

dimanche 25 septembre 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (42) YASHODARAPURA 3 et ANGKOR VAT

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Des grandes épopées, Ramayana et Mahabarata, les concepteurs des reliefs n’ont retenu que les deux batailles finales, celles de la victoire du bien contre le mal.


Voici ci-dessus, un épisode du Ramayana qui représente Rama, la sixième incarnation de Vichou luttant contre les armées de Ravana.

Cette scène est composée de la même manière que celle qui décrit le combat des Dieux et des démons avec un personnage central, bien visible, qui se détache sur un fouillis de personnages entremêlés remplissant tout l’espace. L’impression de profondeur étant rendu seulement par la taille décroissante des personnages.

Le personnage au premier plan est Rama, représenté sous l’aspect du Dieu. Il est reconnaissable à ses multiples bras tenant des armes  et à sa monture, Garuda, qui prend ici l’aspect d’un cheval à tête d’oiseau. Un démon tente même de couper la tête supérieure du dieu avec son épée ! D'autres démons fuient pour éviter d'être écrasé par Garuda tandis que certains sont écrasés par les roues du char.

À suivre...



samedi 24 septembre 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (41) YASHODARAPURA 3 et ANGKOR VAT

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Voici quelques exemples de  reliefs de la première galerie d’Angkor Vat qui me semblent significatifs.


Le barattement de la mer de lait raconte que les Dieux et les Démons décidèrent de s’unir pour s’emparer de la liqueur d’immortalité contenue dans la mer de lait. Pour réaliser ce projet, ils décidèrent de baratter la mer, le serpent Vakusi s’offrit pour servir de corde afin de permettre la rotation de la baratte ; au dessus de la scène se trouvent des apsaras, les danseuses des Dieux.

Il va de soi qu’une fois la liqueur récupérée, Dieux et Démons se battirent pour sa possession. Le combat vit la victoire des Dieux conduits par Vichnou, du bien contre le mal dirait-on selon nos notions occidentales.

Les bas-reliefs des galeries d’Angkor-Vat comportent un grand nombre de représentation de combats, j’ai choisi une scène significative d'un combat mythique  des dieux et des démons  pour décrire les techniques employées par les sculpteurs.


Cette scène est marquée d’abord par la violence des mouvements et des formes . Cela crée un enchevêtrement dans lequel se mélangent les corps distendus, les armes (épées et boucliers) et les chevaux.

La distorsion des formes  est rendue  par une caractéristique générale de tous les reliefs : les personnages sont figurés de profil pour la partie supérieure du corps et de face pour la partie inférieure ; en conséquence,  les cavaliers ne sont pas représentés assis sur les chevaux mais au dessus d’eux, comme si la violence du mouvement faisaient en sorte qu’ils se tiennent debout sur leur monture, prenant appui seulement avec un pied sur la croupe du cheval.

 La perspective est aussi absente de ces fresques, les reliefs comportent plusieurs plans placés  les uns au dessus des autres du plus bas au plus haut pour différencier le plus près du plus lointain.

La composition de ce panneau,  se divise en deux plans.  Au premier plan, deux personnages combattent avec une grande ardeur ;  ils sont traités de manière symétrique, d’une main, ils tiennent le bouclier et de l'autre l’épée ; la violence de l’affrontement est telle que même des chevaux semblent participer au combat en se heurtant. Au deuxieme plan, situé au dessus, on aperçoit le fouillis des personnages et des chevaux si entremêlés en masses tourbillonnantes qu’on a de la peine à les distinguer ; on a l’impression que ce combat se déroule dans le ciel ce qui, au niveau de ce mythe, est parfaitement admissible. Aucun espace n’est décelable entre les deux plans

À suivre...

vendredi 23 septembre 2016

Un regard sur ANGKOR (CAMBODGE) (40) YASHODARAPURA 3 et ANGKOR VAT

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La troisième originalité du temple d’Angkor Wat réside en l'ADAPTATION ARCHITECTURALE DES GALERIES afin de créer des murs pleins permettant la sculpture de grands panneaux en bas-relief. Ces longues fresques représentent, selon moi, la partie la plus intéressante de la visite d’Angkor-Vat.


Les  principaux reliefs sculptés  sont situés sur le mur externe de la deuxième enceinte, cette localisation s’explique sans peine quand on sait que la partie interne du temple était réservée seulement au roi, aux prêtres et aux dignitaires, le peuple étant confiné sur l’esplanade. Il devait néanmoins avoir accès à la galerie extérieure et il pouvait y retrouver les grandes épopées et mythes d’origine indienne ainsi que la description de son histoire récente et en particulier de la lutte de Suryavarman ll contre les chams.


Selon moi, ces reliefs sont organisés selon une progression bien précise : l’histoire débute au Nord-Est avec le barattement de la mer de lait puis elle se poursuit par trois récits mythiques dont le combat de Vichnou contre les Asura qui est la conséquence du barattement de la mer de lait. Il est suivi sur la face Est  par l’évocation des batailles finales des deux grandes épopées indiennes du Ramayana et du Mahabarata. En poursuivant la circumnambulation, on  accède à la face nord où l’on peut admirer successivement la bataille historique de Suryavarman ll sur les Cham et enfin, l’étonnante scène des 37 ciels et des 37 enfers.

Cet ordre me parait parfaitement logique : tout débute par l’origine de la bataille mythique entre Dieux et démons qui fut la conséquence du  barattement de la mer de lait, puis suivent des scènes de bataille qui se terminent toutes par la victoire du bien sur le mal. Parmi ces batailles se trouve celle de  Suryavarman ll dont la victoire sur les Cham est assimilée à celle de Vichnou contre les forces malfaisantes. Enfin, la dernière scène montre ce qu’il advient de ces forces après le jugement de Yama, le dieu de la mort.

À suivre...